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Kratom provoque-t-il la constipation chez l'adulte ?

 

Points essentiels à retenir

  • Oui, le kratom peut causer la constipation car il agit sur les mêmes récepteurs opioïdes que certains antidouleurs, ralentissant ainsi le transit intestinal et la production de liquides digestifs.
  • Les doses élevées et une consommation fréquente augmentent fortement le risque de constipation. Pour limiter cet effet, mieux vaut commencer par de petites quantités et espacer les prises.
  • Une hydratation suffisante est primordiale. On doit boire beaucoup d’eau et éviter les boissons déshydratantes comme l’alcool ou les sodas à la caféine pour contrer l’effet asséchant du kratom.
  • Une alimentation riche en fibres — fruits, légumes, céréales complètes — facilite le transit et adoucit les selles. Des compléments de fibres peuvent également s’avérer utiles.
  • Pratiquer une activité physique douce, comme la marche ou le yoga, aide à stimuler le transit intestinal. Un peu d’exercice chaque jour favorise une digestion régulière.
  • Selon les variétés, les effets diffèrent : les souches à nervures rouges sont souvent plus constipantes que les variétés à nervures blanches ou vertes.

En résumé, oui, le kratom a tendance à provoquer la constipation chez les adultes, principalement à cause de son action sur le système digestif qui ralentit le transit. Beaucoup de personnes en souffrent, tout particulièrement lors d’un usage régulier ou à forte dose. Rester bien hydraté, privilégier une alimentation riche en fibres et modérer sa consommation peut atténuer cet effet secondaire.

Comprendre l’impact du kratom sur notre corps nous permet de l’utiliser de manière plus responsable. Nous aborderons ce sujet plus en détail dans cet article.

Pourquoi le kratom provoque-t-il la constipation

L’action du kratom sur notre système digestif et le système nerveux explique pourquoi il entraîne si souvent de la constipation. Même s’il présente certains bénéfices, ses effets indésirables sur notre transit sont difficiles à ignorer. Voici les principales raisons pour lesquelles le kratom favorise la constipation.

Les récepteurs opioïdes

Les alcaloïdes présents dans le kratom, notamment la mitragynine et la 7-hydroxymitragynine, se fixent sur les récepteurs opioïdes situés dans notre intestin. Ces récepteurs régulent la motricité intestinale et, une fois stimulés par le kratom, ils ralentissent fortement le transit. C’est un effet similaire à celui des opioïdes classiques, souvent connus pour engendrer de la constipation.

Quand ces récepteurs sont activés, les contractions musculaires de l’intestin deviennent plus faibles et moins efficaces : les selles progressent alors plus lentement. Cette stagnation fait que les selles durcissent et accentue l’apparition de la constipation. L’action du kratom sur le système nerveux entérique aggrave encore ce phénomène.

Ralentissement du transit

Le kratom diminue la motricité intestinale en réduisant le péristaltisme — ces mouvements ondulatoires qui poussent nos aliments le long du tube digestif. En perturbant ce mécanisme, ses composés actifs ralentissent considérablement le transit intestinal.

La nourriture reste alors plus longtemps dans l’intestin, ce qui provoque une absorption accrue de l’eau par l’organisme. Conséquence directe : les selles deviennent plus dures et leur évacuation est difficile. Utilisé sur la durée, ou à forte dose, cet effet s’intensifie et la constipation peut devenir un trouble récurrent, surtout chez les consommateurs fréquents.

Baisse des sécrétions intestinales

Le kratom diminue également les sécrétions liquides au sein de l’intestin, essentielles pour hydrater et faciliter le passage des selles. Ce phénomène s’explique par les effets proches de ceux des opioïdes, qui freinent la capacité de l’intestin à produire suffisamment de fluides.

À cela s’ajoute le fait que le kratom possède des propriétés diurétiques qui peuvent entraîner une légère déshydratation. Ce manque d’eau dans l'organisme et dans les intestins entraîne alors des selles sèches et compactes, augmentant le risque de constipation.

Perturbation des contractions intestinales

Le kratom dérègle également le rythme normal des contractions musculaires de notre intestin. Certains de ses alcaloïdes provoquent des contractions désorganisées ou trop faibles, freinant le mouvement des selles.

Si ce dérèglement persiste, la digestion se ralentit encore davantage. À long terme, une utilisation continue ou à fortes doses de kratom peut ainsi entraîner une constipation chronique.

Facteurs déterminants

Le kratom peut provoquer de la constipation chez les adultes, mais ce phénomène dépend de plusieurs paramètres. En comprenant ces facteurs, nous pouvons l’utiliser avec plus de prudence. Découvrons ensemble les éléments majeurs qui influencent ces effets, notamment la quantité ingérée, la fréquence, l’alimentation et la variété utilisée.

Dosage

Le dosage joue un rôle fondamental dans les effets digestifs du kratom. Plus la dose est élevée, plus le risque de constipation augmente, car les alcaloïdes du kratom agissent sur les récepteurs opioïdes et ralentissent le transit intestinal.

Les désagréments au niveau digestif, comme les ballonnements ou des selles dures, deviennent plus fréquents à fortes doses. Pour limiter les risques, il est essentiel de débuter avec de petites quantités. Par exemple, commencer par 1 à 2 grammes permet d’observer comment notre corps réagit.

Des doses importantes, au-delà de 8 grammes, exposent non seulement à la constipation, mais aussi à des effets secondaires sévères comme les nausées ou l’apparition d’une dépendance. Adopter une consommation raisonnée reste le meilleur moyen d’éviter ces soucis.

Fréquence d’utilisation

Une prise régulière de kratom accentue les risques de constipation, notamment sur le long terme. À la longue, notre système digestif peut devenir dépendant et perdre sa capacité à fonctionner normalement.

Consommer quotidiennement du kratom peut même entraîner un changement durable du transit intestinal, avec une constipation chronique à la clé. Alterner les périodes de consommation et de pause — par exemple, trois jours de prise suivis de deux jours d’arrêt — permet au système digestif de récupérer et favorise un meilleur équilibre.

Hydratation

Le kratom favorise la déshydratation, ce qui accentue encore la constipation. Si nous ne buvons pas suffisamment, les selles se durcissent davantage. L’eau aide à garder un bon transit et des selles plus souples.

Il est donc indispensable de veiller à bien s’hydrater lors de la prise de kratom. Boire entre 2 et 3 litres d’eau par jour suffit généralement à compenser les effets déshydratants du kratom.

Des tisanes ou des boissons riches en électrolytes peuvent également offrir un soutien supplémentaire au système digestif.

Alimentation

Un régime alimentaire riche en fibres s’avère très bénéfique pour limiter la constipation. Privilégier l’avoine, les légumineuses ou les légumes-feuilles permet d’augmenter le volume des selles, facilitant ainsi leur élimination.

À l’inverse, une alimentation pauvre en fibres accentue les effets secondaires du kratom. En misant sur des repas variés constitués de produits frais et de céréales complètes, nous pouvons préserver un rythme intestinal régulier. Ainsi, associer le kratom à une alimentation adaptée limite grandement ses effets constipants et instaure une routine plus saine.

Variétés de kratom

Toutes les variétés de kratom n’affectent pas la digestion de la même manière. Les souches à nervures rouges, généralement plus calmantes, sont réputées pour être plus constipantes à cause d’une concentration d’alcaloïdes plus élevée.

Les variétés blanches ou vertes, qui procurent plus d’énergie, semblent entraîner moins de problèmes digestifs. Tester différentes variétés permet de trouver celle qui convient le mieux à notre organisme.

En cas de trouble du transit, il est possible d’alterner davantage les variétés vertes, tout en adaptant son alimentation.

À retenir

  • Dosage : augmenter les doses accentue le risque de constipation ; débutons toujours bas.
  • Fréquence : une utilisation fréquente multiplie les risques ; faisons des pauses régulières.
  • Hydratation : une bonne hydratation prévient la dureté des selles.
  • Alimentation : consommer beaucoup de fibres aide à contrer les effets digestifs du kratom.
  • Variété : les souches rouges comportent plus de risques. N’hésitons pas à essayer le vert ou le blanc.

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Effets à long terme sur l’intestin

Les répercussions du kratom sur notre système digestif, surtout sur le long terme, méritent toute notre attention. Même si nous pouvons être tentés par ses effets thérapeutiques ou euphorisants, il faut être conscients de ses conséquences sur les intestins. Les études comme les témoignages rapportent qu’une consommation prolongée peut entraîner des troubles intestinaux, allant de gênes mineures à des complications graves.

Effets du kratom sur la santé intestinale à long terme Description
Constipation Effet fréquent lié à l’action du kratom sur les récepteurs opioïdes, ralentissant le transit.
Douleurs abdominales Certains d’entre nous ressentent crampes ou inconfort liés aux modifications du transit.
Dépendance aux laxatifs Une constipation chronique peut mener à l’usage régulier de laxatifs, avec risque d’accoutumance.
Risque d’occlusion Dans de rares cas, la constipation prolongée peut aboutir à une occlusion, urgence médicale.
Symptômes de sevrage Arrêter le kratom peut provoquer diarrhée et troubles digestifs liés au sevrage.
Autres troubles graves Quelques témoignages font état d’hémorragies digestives ou d’occlusions après usage prolongé.

Sur le long terme, le kratom modifie la fonction digestive en ralentissant le transit intestinal naturel, car il agit sur les mêmes récepteurs que les opiacés, eux-mêmes connus pour provoquer la constipation. À force, ce ralentissement peut générer une constipation persistante.

Pour la plupart d’entre nous, cela signifie parfois de simples douleurs, mais dans les cas extrêmes, cela peut dégénérer en douleurs aiguës, occlusion, voire complications nécessitant une hospitalisation. C’est pourquoi il est crucial de rester vigilant lorsqu’on consomme du kratom, en particulier sur la durée.

Un autre point d’inquiétude : la dépendance aux laxatifs. Quand la constipation devient chronique, certains d’entre nous recourent régulièrement à des laxatifs, obtenus en pharmacie ou sur ordonnance. Utilisés de façon répétée, ces laxatifs peuvent créer un cercle vicieux où le transit dépend désormais de ces produits pour fonctionner.

Cela complique l’équilibre digestif et expose à d’autres soucis de santé. Pour notre part, nous surveillons de près notre état digestif lors d’une utilisation prolongée de kratom. L’alternance entre constipation et diarrhées peut d’ailleurs être un signal d’alarme à ne pas négliger.

D’autres encore se plaignent de nausées ou de douleurs abdominales, ce qui peut indiquer qu’il faut baisser la dose ou l’espacement entre les prises. Si ces signes ne s’améliorent pas ou s’aggravent, il devient indispensable de consulter un professionnel de santé.

Comme la recherche reste limitée sur les effets du kratom à long terme sur l’intestin, il nous appartient de rester attentifs à notre corps et de s’appuyer sur les connaissances actuelles pour protéger notre bien-être.

La cascade digestive méconnue

Les effets digestifs du kratom ne se limitent généralement pas à la constipation. Les principes actifs de la plante, comme la mitragynine, se lient aux récepteurs opioïdes et modifient la motilité intestinale, provoquant ainsi divers effets secondaires. À long terme ou en cas de consommation élevée, ces impacts touchent non seulement notre confort, mais aussi l’assimilation des nutriments et la santé globale de notre système digestif.

Gonflement abdominal

Le gonflement, souvent lié à l’accumulation de selles due à la constipation, fait partie des effets gênants du kratom. Plus les déchets stagnent dans l’intestin, plus les gaz s’accumulent – ce qui entraîne un ventre gonflé, parfois même douloureux. Ce ballonnement prolongé peut vraiment compliquer notre quotidien et entamer notre bien-être.

Les gaz jouent un rôle clé ici. Lorsque la digestion ralentit, la fermentation des aliments non digérés produit davantage de gaz, ce qui accentue le gonflement. Ceux d’entre nous qui ont un tube digestif sensible ou souffrent de troubles comme le syndrome de l’intestin irritable peuvent en ressentir les effets amplifiés.

Pour limiter les désagréments, quelques ajustements alimentaires peuvent nous aider. Privilégier les fibres présentes dans les fruits, légumes et céréales complètes favorise un transit plus facile, tandis qu’une bonne hydratation soutient la motilité. Enfin, restreindre les aliments connus pour provoquer des gaz (comme les légumineuses ou les sodas) peut aussi soulager les symptômes.

Assimilation des nutriments

L’effet du kratom sur le ralentissement intestinal ne joue pas uniquement sur l’inconfort : il peut nuire à l’absorption des nutriments. Quand la digestion ralentit, notre organisme assimile moins bien les vitamines et minéraux essentiels, augmentant ainsi les risques de carence.

Ce déficit d’absorption peut engendrer de la fatigue, affaiblir notre système immunitaire, ou provoquer d’autres soucis de santé. Par exemple, si l’absorption du fer ou des vitamines B diminue, nous pouvons nous sentir anormalement épuisés. À long terme, de telles carences peuvent fragiliser notre bien-être, surtout si nous comptons sur le kratom au quotidien.

Dans ce contexte, adopter une alimentation riche en nutriments est essentiel. Les légumes verts, les protéines maigres ou encore les oléagineux peuvent compenser une absorption plus lente. Parfois, un apport supplémentaire en magnésium ou en multivitamines peut s’avérer utile pour combler certaines carences liées à une mauvaise digestion.

Microbiote intestinal

Le kratom perturbe également l’équilibre de notre microbiote intestinal, un pilier de la digestion et de notre santé. Les recherches montrent que des modifications de cette flore dues au kratom pourraient aggraver certains troubles digestifs, comme la constipation ou la diarrhée.

Pour rétablir cet équilibre, l’utilisation de probiotiques se révèle précieuse. Les yaourts, kéfirs et compléments probiotiques apportent des micro-organismes bénéfiques qui aident à rééquilibrer la flore. Favoriser la diversité du microbiote est primordial ! Ajouter des aliments fermentés ou des prébiotiques comme l’ail et l’oignon favorise cette diversité.

Enfin, réorienter notre alimentation – en réduisant les aliments transformés et en privilégiant les produits végétaux – nous aide à soutenir une flore intestinale saine et à limiter les perturbations liées au kratom.

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Les premiers signes à surveiller

La constipation fait partie des effets secondaires physiques les plus répandus liés à l’utilisation du kratom, et son intensité peut varier d’une personne à l’autre. Il est essentiel de détecter rapidement les premiers signaux d’alerte afin de réagir avant que la situation ne s’aggrave et de préserver notre bien-être. Pour beaucoup d’entre nous, un changement dans la consistance des selles est le premier signe à ne pas négliger. Lorsque les selles deviennent dures et sèches, aller aux toilettes peut vite devenir douloureux.

Ce phénomène s’explique par le fait que le kratom ralentit le transit intestinal. Identifier ces petits changements dès leur apparition permet d’agir rapidement. Le fait d’aller moins souvent à la selle est aussi un signe important. En général, chez l’adulte, avoir moins de trois selles par semaine peut indiquer le début d’une constipation, surtout si c’est inhabituel pour nous.

Souvent, ces troubles s’accompagnent d’une gêne abdominale : crampes, ballonnements, ou la sensation d’avoir le ventre plein en permanence. Ces manifestations témoignent que notre système digestif est soumis à rude épreuve, surtout en cas de prises fréquentes ou à forte dose de kratom. Prêter attention à ces premiers signaux peut nous éviter des complications comme la rétention de selles ou l’apparition d’hémorroïdes.

Être attentif aux moindres changements corporels est donc essentiel. Même si on continue à aller à la selle, une tendance à des selles plus fermes ou plus compactes ne doit pas être prise à la légère. Cela peut marquer le début d’une adaptation de l’organisme au kratom qui risque d’entraîner, à terme, des problèmes plus sérieux.

Rester vigilants face à ces évolutions est primordial pour préserver la santé digestive pendant une consommation de kratom. L’idéal est d’intervenir dès les premiers signes de constipation. Augmenter notre consommation d’eau, privilégier une alimentation plus riche en fibres et réduire la dose de kratom sont des gestes simples mais efficaces.

Par exemple, introduire davantage de fruits, de légumes et de céréales complètes dans notre alimentation peut aider à retrouver un certain confort intestinal. Sans oublier l’importance de bouger régulièrement afin de favoriser le transit. Prendre ces précautions dès l’apparition des symptômes permet non seulement d’éviter l’inconfort, mais aussi d’adopter une pratique plus responsable du kratom.

Si la constipation liée au kratom est relativement courante, d’autres effets secondaires existent comme des vertiges, des nausées ou des maux de tête. Les cas plus graves – dépendance ou troubles neurologiques – restent rares, mais ne sont pas à exclure. Moins d’1% des utilisateurs auraient consulté un médecin pour ces effets, ce qui montre l’importance de bien se connaître et de rester attentifs à notre santé.

Stratégies concrètes pour mieux gérer la constipation

La gestion de la constipation liée au kratom repose sur une combinaison de gestes préventifs et de changements d’habitudes. Même si la constipation ne touche qu’une minorité d’entre nous (environ 6 %), il est important de l’aborder efficacement pour continuer à profiter des bienfaits du kratom sans nuire à notre bien-être général.

En adoptant les bons réflexes, nous pouvons préserver notre santé digestive tout en profitant pleinement des vertus du kratom.

Boire suffisamment

Une hydratation optimale est essentielle pour prévenir la constipation. Nous visons généralement 2 à 3 litres d’eau par jour pour faciliter le transit intestinal.

  • Commencez la journée en buvant un grand verre d’eau tiède afin de stimuler le système digestif.
  • Répartissez votre consommation de boissons tout au long de la journée.
  • Pensez aux tisanes comme la menthe poivrée ou la camomille, connues pour apaiser l’intestin.
  • Intégrez des boissons riches en électrolytes, surtout si vous transpirez beaucoup lors de vos activités physiques.

Évitons les boissons déshydratantes telles que le café et l’alcool, qui ont tendance à accentuer la constipation en entraînant une perte d’eau au niveau digestif.

Augmenter l’apport en fibres

Une alimentation riche en fibres favorise la régularité du transit et ajoute du volume aux selles. Nous pensons qu’intégrer chaque jour des aliments riches en fibres est une stratégie de prévention efficace.

  1. Privilégions les céréales complètes comme l’avoine, le quinoa ou le riz complet.
  2. Consommons des fruits entiers – pommes, poires, baies – en gardant la peau pour encore plus de fibres.
  3. Ajoutons à nos repas des légumes variés tels que brocolis, carottes et légumes verts à feuilles.
  4. Pour les encas, misons sur les oléagineux et graines riches en fibres comme les graines de chia ou de lin.

En cas de besoin, des compléments comme le psyllium ou la méthylcellulose peuvent compléter l’alimentation. Les fibres augmentent le volume des selles et accélèrent leur progression dans le côlon, limitant ainsi la constipation.

Activité physique douce

L’exercice facilite naturellement le transit par la stimulation des mouvements intestinaux. Une marche d’une trentaine de minutes chaque jour, ou une séance douce de yoga, font des merveilles pour le système digestif.

Des activités plus dynamiques comme le footing ou le vélo renforcent l’équilibre du microbiote intestinal. Prendre le temps de bouger régulièrement ne limite pas seulement le risque de constipation, mais aide également à mieux vivre les autres effets secondaires éventuels du kratom, pour une vie plus équilibrée.

Penser aux compléments alimentaires

Lorsque la constipation devient persistante, certains compléments peuvent nous prêter main-forte. Les fibres en supplément ajoutent du volume, tandis que les probiotiques rééquilibrent la flore intestinale souvent perturbée par notre mode de vie ou notre alimentation.

Pour soulager rapidement une gêne passagère, des émollients fécaux ou des suppléments de magnésium – un laxatif naturel – peuvent être utiles. Toutefois, nous les utilisons avec parcimonie et, si besoin, sur avis médical, afin d’éviter tout risque d’accoutumance.

Conclusion

Le kratom peut avoir des effets sur notre digestion, et la constipation est un effet secondaire fréquent chez certains d’entre nous. Cela arrive parce que le kratom ralentit le transit intestinal. La dose, la fréquence d’utilisation et notre niveau d’hydratation jouent tous un rôle. Sur le long terme, cela peut compliquer le bon fonctionnement de notre intestin — il est donc essentiel de repérer les signes tôt.

Des gestes simples comme boire suffisamment d’eau, privilégier les fibres dans notre alimentation ou encore faire des pauses dans notre consommation de kratom peuvent aider. Certains d’entre nous trouvent aussi du réconfort avec les tisanes ou les probiotiques pour conserver un bon équilibre. Nous sommes tous différents, il s’agit donc de trouver ce qui nous convient le mieux.

Si la constipation persiste ou s’aggrave, il est important de consulter un professionnel de santé. S’informer et rester attentifs à notre corps nous permet de poursuivre notre parcours avec le kratom en toute sécurité. Prenons soin de nous.

Foire aux questions

Le kratom provoque-t-il la constipation chez les adultes ?

Oui, le kratom peut entraîner de la constipation chez les adultes. Les alcaloïdes qu'il contient interagissent avec les récepteurs opioïdes, ce qui ralentit la motricité intestinale et peut perturber notre digestion.

Pourquoi le kratom peut-il provoquer de la constipation ?

Tout comme les opioïdes, le kratom diminue le mouvement des intestins car il se lie aux mêmes récepteurs. Cela ralentit les contractions intestinales, ce qui rend le passage des selles plus difficile.

Quels signes indiquent que le kratom affecte notre transit ?

Les indices courants sont une fréquence réduite des selles, des selles dures, des ballonnements ou des douleurs abdominales. Si ces symptômes persistent, il vaut mieux revoir notre consommation de kratom ou consulter un professionnel de santé.

La constipation liée au kratom est-elle dangereuse ?

Dans de nombreux cas, c’est supportable. Mais sur la durée, cette situation peut entraîner des complications comme des hémorroïdes ou des blocages intestinaux. Il est donc indispensable de réagir tôt en cas de troubles persistants.

Comment limiter la constipation quand on consomme du kratom ?

L’essentiel est de bien s’hydrater, adopter une alimentation riche en fibres et bouger régulièrement. Ajuster la dose ou la fréquence de prise de kratom peut aussi aider à prévenir l’inconfort.

Le kratom a-t-il un impact à long terme sur notre système digestif ?

À long terme, un usage répété peut favoriser une constipation chronique et d’autres soucis digestifs. Suivre sa consommation et demander conseil à un médecin nous permettent de mieux anticiper les risques.

Faut-il arrêter complètement le kratom en cas de constipation ?

Pas forcément. Le mieux est d’abord d’agir sur notre hydratation et notre alimentation. Si les symptômes ne disparaissent pas, il est recommandé d’échanger avec notre médecin pour trouver la meilleure solution.

 
Publié dans: Herbs, Kratom

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